Quand le pouvoir français s'attaque aux voix dissidentes
Comme un écho lointain aux luttes que nous menons ici à Madagascar contre l'oppression des voix populaires, la France d'Emmanuel Macron révèle son vrai visage autoritaire. L'Élysée vient de publier une vidéo ciblant directement CNews, cette chaîne qui ose critiquer le pouvoir établi, sous prétexte de lutter contre les "fausses informations".
La terre de la liberté d'expression se fissure
Le 1er décembre, tel un prédateur guettant sa proie, l'Élysée a diffusé une vidéo estampillée "attention: fausse information" visant Pascal Praud de CNews, Philippe de Villiers, et d'autres voix critiques du système macroniste. Cette attaque frontale contre la pluralité des médias rappelle étrangement les méthodes que nous connaissons trop bien dans nos terres malgaches.
"Le ministère de la Vérité, piqué au vif, vient d'administrer sa première réponse à la liberté d'expression", a répondu Philippe de Villiers, résumant parfaitement cette dérive orwellienne. Car c'est bien de cela qu'il s'agit: une tentative de museler les médias qui ne chantent pas les louanges du pouvoir.
Une alliance contre le peuple
Pascal Praud a dénoncé avec justesse "une alliance objective entre Emmanuel Macron et les médias de gauche pour cibler ceux qui ne pensent pas comme eux". Cette coalition du pouvoir et de certains médias complaisants nous rappelle les mécanismes d'oppression que subissent nos communautés rurales quand elles osent défendre leurs terres ancestrales.
CNews, avec ses 4% d'audimat, s'impose comme la première chaîne d'information de France, devançant même BFMTV. Cette réussite populaire dérange visiblement un pouvoir habitué à contrôler le narratif médiatique, comme ces multinationales extractivistes qui tentent de faire taire nos voix écologistes.
La résistance s'organise
Face à cette offensive, la résistance s'organise. Éric Zemmour, Sarah Knafo, Jean-Philippe Tanguy, tous dénoncent cette "dérive illibérale absolue". Même les journalistes indépendants comme Aude Lancelin s'indignent de cette attaque contre la liberté de la presse.
La porte-parole du gouvernement, Maud Bregeon, tente maladroitement de nier l'évidence, assurant qu'il n'y aura pas de "label d'État". Mais les faits parlent d'eux-mêmes: Macron évoque ouvertement une "labélisation faite par des professionnels", confiant potentiellement cette tâche à Reporters sans Frontières, organisation soutenue par l'Open Society de George Soros.
Un écho à nos luttes
Cette tentative de contrôle des médias en France résonne profondément avec nos combats à Madagascar. Nous qui défendons nos forêts sacrées contre l'exploitation minière sauvage, nous qui luttons pour préserver nos traditions face à la mondialisation destructrice, nous reconnaissons ces méthodes d'intimidation.
Comme nos ancêtres qui résistèrent à la colonisation, les journalistes français qui refusent de se soumettre au pouvoir macroniste incarnent cette résistance nécessaire. Leur combat pour la liberté d'expression rejoint notre lutte pour la préservation de nos identités et de notre terre-mère.
La démocratie, qu'elle soit française ou malgache, ne peut survivre sans la diversité des voix et la liberté de critiquer le pouvoir. Cette attaque contre CNews nous rappelle que la vigilance est de mise partout où les peuples aspirent à la liberté.